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Livre
1
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ALBERTO MAGNELLI
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CENTRE D'ARTS PLASTIQUES ROYAN
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1997 |
FONDS LOCAL |
05-08-2015 |
480 |
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Livre
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ANDRÉ MARFAING
OU LA MÉMOIRE DE L'AVANT-GARDE RUSSE À PÉTROGRAD
André Marfaing, né à Toulouse (Haute-Garonne) le 11 décembre 1925 et mort à Paris le 30 mars 1987, est un peintre et graveur français, non figuratif, associé à l'art abstrait et représentant de la peinture informelle. Il a travaillé l'huile, l'acrylique et la gravure, utilisant essentiellement le noir, dans une peinture abstraite, ascétique, parfois proche de l'idéogramme.
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CENTRE D'ARTS PLASTIQUES ROYAN
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2007 |
FONDS LOCAL |
10-08-2015 |
500 |
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Livre
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ANNA MARK
RELIEFS, GOUACHES, AQUATINTES
Anna Mark est née à Budapest en 1928. Elle étudie la peinture à l’Ecole des Beaux-arts de Budapest puis exerce le métier de décoratrice de théâtre. Elle quitte la Hongrie en 1956 et après quelques années passées à Sarrebruck, elle s’établit à Paris en 1959.
Après avoir peint à l’huile, elle adopte des techniques mixtes. A l’aide d’un mélange de poudre de marbre, de sable, de résine et d’oxydes, elle réalise des tableaux monochromes, à la construction architecturale, «bas-reliefs» structurés par le jeu de la lumière et des ombres. En parallèle, elle travaille sur papier, à la gouache, au pastel, à la mine de plomb. Privilégiant d’abord presque exclusivement l’usage du noir et blanc, elle fait entrer progressivement la couleur dans son travail: les ocres, les bruns puis les rouges et jaunes sont présents dans les gouaches qu’elle décline dans différents formats. Le dessin à la plume, la gravure (aquatintes et eaux-fortes) accompagnent avec d’autres moyens cette même recherche.
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CENTRE D'ARTS PLASTIQUES ROYAN
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2006 |
FONDS LOCAL |
10-08-2015 |
491 |
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Livre
1
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ANNE MOREAU
"JE TRACE TOUJOURS DES PLANS" : PEINTURE - SCULPTURE
Née en 1948, Anne Moreau a suivi, à Paris, l’enseignement des écoles des Arts appliqués, des Arts décoratifs et des Beaux-Arts. Elle passe quelques années à l’île de Ré où elle expérimente la peinture à fresque et opte pour la toile de lin sans châssis qui deviendra son support privilégié, remplacé ensuite par la toile géotextile. Elle voyage ensuite sur les rivières et canaux à bord du Pick-au-Vent, la péniche dont la cale est atelier de peinture, puis s’établit dans une maison éclusière sur le canal latéral de la Marne. Depuis 1998, elle vit en Charente où elle a bénéficié de l’aide à la création d’atelier du Ministère de la culture DRAC Poitou-Charentes.
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CENTRE D'ARTS PLASTIQUES ROYAN
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2007 |
FONDS LOCAL |
10-08-2015 |
469 |
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Livre
1
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EDUARDO CHILLIDA
Avant d'être sculpteur, Eduardo Chillida fut gardien de but de la Real Sociedad. C'est du fait d'une blessure aux ménisques qu'il dut mettre un terme à sa carrière[réf. nécessaire]. De 1943 à 1947, Eduardo Chillida étudie l'architecture à Madrid. En 1947, il abandonne ses études et fréquente l'Académie d'Art à Madrid. Il décide alors de se consacrer à la sculpture et expose à Paris dès le début des années 1950 (première exposition en 1949 au Salon de Mai), et s'installe au Pavillon Espagnol de la Cité Universitaire. Il y fait la connaissance de Brancusi et des peintres et sculpteurs espagnols Antoni Tàpies, Xavier Oriach, Baltasar Lobo, Ginés Parra, Orlando Pelayo et Pablo Palazuelo. Cette même année, il retourne à Saint-Sébastien pour y épouser Pili de Belzunce et participe à une exposition collective à la Galerie Maeght. En 1951 à Saint-Sébastien, et fait sa première sculpture en fer, Ilarik.
En 1954, il fait sa première exposition personnelle à la Galerie Clan, Madrid. Cette même année, il sculpte les portes en bas relief de la basilique des moines franciscains d'Arantzazu. En 1955, il exécute une sculpture en pierre pour commémorer Sir Alexander Flemming à Saint-Sébastien. En 1956, a lieu sa première grande exposition à la Galerie Maeght, Paris, et devient un des artistes de la Galerie. 1958, il expose au Pavillon espagnol à la Biennale de Venise, et fait son premier voyage aux États-Unis, où il participe à une exposition au musée Solomon R. Guggenheim, et au Pittsburgh Museum of Art, Carnegie Institution. Il reçoit le prix de la fondation Graham, ainsi que le prix Kandinsky par Nina Kandinsky en 1961. En 1962, il fait une exposition personnelle au Kunsthalle de Bâle et participe à l'exposition «Trois espagnols : Picasso, Miró, Chillida» du musée des beaux-arts de Houston. En 1964, il expose une fois encore à la Galerie Maeght, reçoit le prix Carnegie pour la sculpture au Pittsburgh International et participe à une exposition collective à la galerie Tate. En 1965, il expose à la galerie Mc Roberts and Tunnard, Londres.
Gaston Bachelard le surnommait « le forgeron » en raison de son goût pour les sculptures monumentales en métal. Chillida a aussi travaillé d'autres matériaux : le bois, le fer, le granit et les matériaux plus contemporains comme le béton et l'acier corten. Ses œuvres sur papier sont une part importante de sa création. À l'encre, au crayon, ou à travers la technique de la gravure, ses œuvres suivent le même principe que ses sculptures. Pour créer différents niveaux dans ses œuvres, Chillida utilise le découpage et le collage de papier journal, papier d'emballage, etc. Il peut aussi trouer les supports papier, les maintenir ensemble avec des ficelles.
L'artiste a obtenu de nombreux prix pour ses estampes (gravures à l'eau forte) et pour ses sculptures. En 1958, Chillida représente l'Espagne à la Biennale de Venise. En 1998, le musée Reina Sofía de Madrid lui consacre une grande exposition. C'est le Kunsthaus de Zurich qui lui accorde sa première exposition rétrospective en 1969.
Chillida meurt en 2002, après avoir souffert d'une longue maladie ; il avait déjà été hospitalisé pour une pneumonie et souffrait par ailleurs de la maladie d'Alzheimer1,2. Ses œuvres, sculptures, dessins, gravures, livres illustrés, font partie des grandes collections privées et publiques à travers le monde. Le musée Chillida, à Hernani, près de Saint-Sébastien, abrite une quarantaine d'œuvres dans un espace en plein air au sein d'une propriété du XVIe siècle. Il est fermé au public depuis le 1er janvier 2011, mais reste ouvert aux chercheurs.
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CENTRE D'ARTS PLASTIQUES ROYAN
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2004 |
FONDS LOCAL |
05-08-2015 |
470 |
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Livre
1
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FLORENCE GILLET
Florence Gillet est née à Paris. Elle entre à l'Ecole des Beaux-Arts de Paris en 1979.
En 1980, elle séjourne à Bruxelles huit mois, pour étudier les Primitifs flamands, à l'Institut royal du Patrimoine artistique (IRPA).
Diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris en 1983 (Ciels de Houat, fusains, lavis).
En 1986 elle est major au concours d'habilitation des restaurateurs de peinture des Musées de France. Travaille pour les Musées de France jusqu'en 1993.
De 1989 à 1991, elle est pensionnaire de l'Académie de France à Rome, Villa Médicis. Réalise un travail de dessin et de gravure sur les jardins romains (Troncs, Branches, Feuilles, monotypes, empreintes).
En 1992, quelques mois passés dans le Vexin orientent son travail de peintre vers le paysage.
De 1995 à 1997, elle est membre de la Casa de Velázquez à Madrid. Le haut ciel madrilène, la lumière de Castille lui révèlent la couleur pure. Sa peinture tend vers le monochrome et les aplats. Dans sa gravure, le trait s'allège et tend vers l'essentiel, lignes et points (Campos, Caminos, Andalucia, Sierras, Olivaies, Vues d'avion, etc.).
Depuis 1997, couleur, rythme et dynamique du trait guident son travail, toujours nourri de l’expérience du réel : Paysage, Sols et Murs, Tiges, Fleurs et Ombres, Galets, Fruits et Légumesà
Elle expose régulièrement en France et à l'étranger.
Ses œuvres sont conservées dans de nombreuses collections publiques et privées.
Florence Gillet a réalisé plusieurs livres dont : Striées de Jacques Outin, Le Noir de l'errance avec Gilbert Lascault aux éditions L'Escampette, Le Vide étant fait avec Renaud Ego aux éditions L'Attentive, La Isla de los Faisanes n°4 avec la Chalcographie nationale de Madrid, de même qu’elle a collaboré avec les éditions Chandeigne et Le Serpent à Plumes.
Elle enseigne à l’Ecole d’Architecture de Paris-Val-de-Seine depuis 2000
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CENTRE D'ARTS PLASTIQUES ROYAN
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2004 |
FONDS LOCAL |
10-08-2015 |
454 |
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Livre
1
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FRANCIS LIMERAT
20 ANS DE CRÉATION : BOIS, DESSINS, CARNETS DE VOYAGE
Peintre né le 1er Août 1946 à Alger. Il vit et travaille à Paris et dans l'Entre-deux-Mers.
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CENTRE D'ARTS PLASTIQUES ROYAN
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2000 |
FONDS LOCAL |
10-08-2015 |
456 |
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Livre
1
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JEAN-PAUL MARCHESCHI
LUXC XXIII, 44
Né en 1951 en Corse, Jean-Paul Marcheschi vit et travaille à Paris.
Depuis 1984, le "pinceau de feu" est l'unique instrument utilisé dans l'exécution de sa peinture.
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CENTRE D'ARTS PLASTIQUES ROYAN
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2004 |
FONDS LOCAL |
10-08-2015 |
450 |
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Livre
1
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JEAN-PIERRE PINCEMIN
Jean-Pierre Pincemin, né le 7 avril 1944 à Paris et mort le 17 mai 2005 (à 61 ans) à Arcueil (Val-de-Marne), est un peintre, graveur et sculpteur français.
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CENTRE D'ARTS PLASTIQUES ROYAN
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2003 |
FONDS LOCAL |
05-08-2015 |
438 |
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Livre
1
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JEAN-PIERRE SCHNEIDER
OEUVRES RÉCENTES 1997-2002 : PEINTURES - DESSINS
Formé à l’école des Beaux-Arts de Lille, Jean Pierre Schneider a longtemps exploré la peinture abstraite ou « sans sujet » comme il préfère le dire. Tal Coat, Twombly, Rothko sont les grands artistes qui l’inspirent. Riche de l’expérience et des acquis de l’art abstrait, Jean-Pierre Schneider renoue il y a quinze ans avec le sujet, élément qui « met en mouvement la peinture » sans prendre le dessus, sa préoccupation principale restant avant tout et toujours « le territoire de la peinture ».
Souvent de grand format, les tableaux de Jean Pierre Schneider se déclinent par séries qui explorent à travers un même sujet différentes compositions plastiques. D’apparence monochrome, ses tableaux offrent une matière riche, mate et vibrante, dont la lumière naturelle révèle toute la subtilité. L’artiste superpose les couches de couleurs, la première réapparaissant à la surface là où l’artiste pratique des incisions dans la matière.
D'aspect ragile, délicat mais puissant, l’univers pictural de Jean Pierre Schneider fait volontiers appel à la littérature. Une citation en contrepoint du titre vient accompagner le tableau ou parfois même s’inscrire dans la peinture, constituant ainsi que la date, un deuxième motif dans la composition. La sédimentation des couches de peinture s’oppose à la fulgurance du geste campant le motif ou incisant un signe, un mot, la date. Les formes esquissées, les bribes de phrase, l’aspect parfois volontairement inachevé laissent l’imagination circuler. L’œuvre de Jean Pierre Schneider s’offre ainsi comme des moments suspendus, des instants précieux d’équilibre et de poésie.
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CENTRE D'ARTS PLASTIQUES ROYAN
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2006 |
FONDS LOCAL |
10-08-2015 |
419 |
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Livre
1
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LAPICQUE ET LE SENTIMENT OCEANIQUE
Avant d'être sculpteur, Eduardo Chillida fut gardien de but de la Real Sociedad. C'est du fait d'une blessure aux ménisques qu'il dut mettre un terme à sa carrière[réf. nécessaire]. De 1943 à 1947, Eduardo Chillida étudie l'architecture à Madrid. En 1947, il abandonne ses études et fréquente l'Académie d'Art à Madrid. Il décide alors de se consacrer à la sculpture et expose à Paris dès le début des années 1950 (première exposition en 1949 au Salon de Mai), et s'installe au Pavillon Espagnol de la Cité Universitaire. Il y fait la connaissance de Brancusi et des peintres et sculpteurs espagnols Antoni Tàpies, Xavier Oriach, Baltasar Lobo, Ginés Parra, Orlando Pelayo et Pablo Palazuelo. Cette même année, il retourne à Saint-Sébastien pour y épouser Pili de Belzunce et participe à une exposition collective à la Galerie Maeght. En 1951 à Saint-Sébastien, et fait sa première sculpture en fer, Ilarik.
En 1954, il fait sa première exposition personnelle à la Galerie Clan, Madrid. Cette même année, il sculpte les portes en bas relief de la basilique des moines franciscains d'Arantzazu. En 1955, il exécute une sculpture en pierre pour commémorer Sir Alexander Flemming à Saint-Sébastien. En 1956, a lieu sa première grande exposition à la Galerie Maeght, Paris, et devient un des artistes de la Galerie. 1958, il expose au Pavillon espagnol à la Biennale de Venise, et fait son premier voyage aux États-Unis, où il participe à une exposition au musée Solomon R. Guggenheim, et au Pittsburgh Museum of Art, Carnegie Institution. Il reçoit le prix de la fondation Graham, ainsi que le prix Kandinsky par Nina Kandinsky en 1961. En 1962, il fait une exposition personnelle au Kunsthalle de Bâle et participe à l'exposition «Trois espagnols : Picasso, Miró, Chillida» du musée des beaux-arts de Houston. En 1964, il expose une fois encore à la Galerie Maeght, reçoit le prix Carnegie pour la sculpture au Pittsburgh International et participe à une exposition collective à la galerie Tate. En 1965, il expose à la galerie Mc Roberts and Tunnard, Londres. Gaston Bachelard le surnommait « le forgeron » en raison de son goût pour les sculptures monumentales en métal. Chillida a aussi travaillé d'autres matériaux : le bois, le fer, le granit et les matériaux plus contemporains comme le béton et l'acier corten. Ses œuvres sur papier sont une part importante de sa création. À l'encre, au crayon, ou à travers la technique de la gravure, ses œuvres suivent le même principe que ses sculptures. Pour créer différents niveaux dans ses œuvres, Chillida utilise le découpage et le collage de papier journal, papier d'emballage, etc. Il peut aussi trouer les supports papier, les maintenir ensemble avec des ficelles.
L'artiste a obtenu de nombreux prix pour ses estampes (gravures à l'eau forte) et pour ses sculptures. En 1958, Chillida représente l'Espagne à la Biennale de Venise. En 1998, le musée Reina Sofía de Madrid lui consacre une grande exposition. C'est le Kunsthaus de Zurich qui lui accorde sa première exposition rétrospective en 1969.
Chillida meurt en 2002, après avoir souffert d'une longue maladie ; il avait déjà été hospitalisé pour une pneumonie et souffrait par ailleurs de la maladie d'Alzheimer1,2. Ses œuvres, sculptures, dessins, gravures, livres illustrés, font partie des grandes collections privées et publiques à travers le monde. Le musée Chillida, à Hernani, près de Saint-Sébastien, abrite une quarantaine d'œuvres dans un espace en plein air au sein d'une propriété du XVIe siècle. Il est fermé au public depuis le 1er janvier 2011, mais reste ouvert aux chercheurs
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CENTRE D'ARTS PLASTIQUES ROYAN
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1998 |
FONDS LOCAL |
05-08-2015 |
475 |
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Livre
1
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MAX NEUMANN
OEUVRES DE 1986 À 1997 : DÉTREMPES - MONOTYPES - GRAVURES
Né en 1949, Max Neumann peut être considéré comme l’un des principaux peintres allemands actuels. Reconnu dans son pays depuis une bonne vingtaine d’années, son œuvre a fait l'objet de nombreuses expositions à travers le monde, mais il est, comme tant d'autres, plus apprécié des collectionneurs privés que des institutions. C'est sa première exposition muséale en Belgique. En collaboration avec la Galerie Vidal Saint Phale à Paris, le Musée d'Ixelles et la galerie Pascal Polar ont uni leurs moyens pour présenter à Bruxelles un ensemble de tableaux et de dessins récents, exécutés depuis 1997, mais majoritairement des 3 dernières années au musée, et depuis 2002 chez Pascal Polar. Tous, rarement vus, proviennent de collections privées de différents pays.
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CENTRE D'ARTS PLASTIQUES ROYAN
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2001 |
FONDS LOCAL |
10-08-2015 |
450 |
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Livre
1
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OLIVIER DEBRÉ
PEINTURES DE 1963 À 1990
Olivier Debré, né le 14 avril 1920 à Paris où il est mort le 1er juin 1999, est un peintre français représentant majeur de l’abstraction lyrique. Il est le fils du professeur Robert Debré, le frère de Michel Debré et l'oncle de Bernard Debré et de Jean-Louis Debré.
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CENTRE D'ARTS PLASTIQUES ROYAN
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2000 |
FONDS LOCAL |
10-08-2015 |
444 |
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Livre
1
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PAUL MANSOUROFF
Paul Andréevitch Mansouroff, né en 1896 à Saint-Pétersbourg et mort le 2 février 1983 à Nice, est un peintre russe de l'avant-garde russe et du suprématisme.
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CENTRE D'ARTS PLASTIQUES ROYAN
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2007 |
FONDS LOCAL |
10-08-2015 |
460 |
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Livre
1
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PIERRE TAL-COAT
Originaire de Bretagne, Pierre Tal Coat (1905-1985) est l’un des artistes les plus importants du XXe siècle et l’un des rares à avoir été exposé au Grand Palais de son vivant, en 1976. Ami de Giacometti, de Nicolas de Staël et de Gertrude Stein, il est considéré comme l’un des plus grands peintres de paysage. C’est le peintre des éléments (la terre, l’eau, l’air) qu’il restitue dans ses peintures, ses aquarelles et ses dessins dont le Département du Morbihan possède l’un des ensembles les plus remarquables.
www.tal-coat.fr
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CENTRE D'ARTS PLASTIQUES ROYAN
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2002 |
FONDS LOCAL |
05-08-2015 |
437 |
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Livre
1
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RAFOLS-CASAMADA
Né en1923 en Espagne et décédé en 2009, Albert Rafols-Casamada est l’une des figures importante de la peinture espagnole contemporaine. Son œuvre, quoique non lyrique, ni « matérialiste », est chargée d’émotion et de sensualité. De même, elle est construite sans être géométrique. Abstraite, elle traduit les préoccupations majeures du peintre catalan : l’espace, la lumière et, surtout, la couleur, « véhiculent de l’idée ». Des motifs ou des signes chromatiques et dynamiques sont peints à l’acrylique sur des fonds colorés mats, proches de la fresque. Ces « présences », denses et légères à la fois, s’organisent et dialoguent entre elles, faisant vibrer la peinture. Plusieurs réalisations monumentales ont témoigné de la préoccupation d’Albert Rafols-Casamada pour l’architecture.
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CENTRE D'ARTS PLASTIQUES ROYAN
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1998 |
FONDS LOCAL |
05-08-2015 |
445 |
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Livre
1
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ZAO WOU-KI
VINGT DERNIERES ANNEES DE PEINTURE (LES)
Zao Wou-Ki (Zao, de son nom, Wou-Ki ou Wou-ki de son prénom), né le 1er février 1920 à Pékin, et mort le 9 avril 2013 (à 93 ans) à Nyon, est un peintre et graveur chinois naturalisé français en 1964. Il est rattaché, dans les années 1950, à la nouvelle École de Paris, puis à l'abstraction lyrique avant de devenir, selon la définition de Claude Roy : « ...Un grand peintre qui poursuit dans son œuvre une dizaine au moins de grands siècles de l'art chinois, et qui est un des meilleurs peintres modernes de l'Occident. »Son œuvre est vaste. Elle comprend les peintures réalistes de ses premiers tableaux qui sont surtout des portraits, quelques natures mortes et des paysages (1935-1949), ainsi que des huiles sur toiles de grands formats inspirées de Paul Klee qui tendent vers l'abstraction à partir des années 1950, puis l'abstraction lyrique dans les années 1960, des encres de Chine, des calligraphies. Très vite apprécié en Occident, ami de Pierre Soulages, de Joan Miró, de Henri Michaux, il est reconnu par son propre pays vers 1983. À cette date, il est accueilli à Pékin où ses œuvres sont exposées au Musée national de Chine. La France lui a rendu hommage à plusieurs reprises. Il a été nommé grand Officier de la Légion d'honneur, commandeur de l'ordre national du Mérite, officier des Arts et des Lettres, et en 1995, il créa une œuvre originale6 lorsque la Poste a émis un timbre-poste en son honneur.
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CENTRE D'ARTS PLASTIQUES ROYAN
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1999 |
FONDS LOCAL |
05-08-2015 |
414 |